Geschriebenes

Ohne tieferen Sinn oder größere Ziele werde ich hier gelegentlich Geschriebenes veröffentlichen.
Ich stelle es jedem frei, dieses zu lesen, nicht zu lesen, diesen Thread bescheuert zu finden oder auch unterhaltsam. In erster Linie möchte ich auf diese Weise meinen Zugang zum Schreiben erweitern und das Ziel umsetzen, öfter zu schreiben.

Viel Spaß, Ärger, Desinteresse oder wonach es euch auch steht!

Zur Frage, warum ich das in einem Saxophonforum tue:
Ich habe keine anderen sozialen Plattformen/Netzwerke, möchte auch keine weiteren anschaffen - und auf Whatsapp wäre dies alles weitaus privater.

 

olaf, teil 1

gegenwärtig gelingt mir der upload nur als textdatei.

 

Hallo Paul

Deinen Olaf habe ich mir auf das 10“ Tablet heruntergeladen.

kann ihn so leider nicht lesen: zu klein, ohne Layout.

m.E. sollte der TXT auch auf einem Smartphone lesbar sein, vorzugsweise sogar auf dem iPhone SE.

E.

 

Ich habe auf meinem Xiaomi Schlaufon keine Probleme mit dem Lesen, Vergrößern usw.

Danke, und mir macht Dein Text Spaß!
Gute Sprache; erinnert mich etwas an Franz Kafka.
Bin schon auf die Fortsetzung gespannt!

 

@Paul2002

Wirklich gut! Bin beeindruckt…..

CzG

Dreas

 

Leider komme ich gerade nicht zum Schreiben, nicht einmal wirklich zum Fremdsprachenlernen und Lesen. Es ist so eine Sache mit der Musik. Dann, wenn sie einen am kräftigsten packt und am meisten erfüllt, lässt sie den kleinsten Raum für andere Lebensinhalte...Ich kümmere mich um Fertigstellung der nächsten Seite. Eigentlich wollte ich hier ja regelmäßig etwas schreiben

 

was meinst Du warum ich die „Unlesbarkeit“ angemeckert habe?

Damit es weitergeht - zum vertonen.

—> Vertonung von Gedichten, Prosa, Videos…

Die Notation des 2, Videos auf Livias Seite interessiert mich brennend

 

« Aujourd'hui, il fait beau dehors », pensa Olaf. Il descendit les escaliers, resserra à nouveau son manteau, regarda qu'il n'avait pas de taches ou de plis et voulait juste se tourner à gauche, se rendre au travail quand il a remarqué qu'il n'avait pas du tout fermé la porte d'entrée.

Normalement, cette pensée lui aurait causé peu d'inconfort, car normalement, il savait qu'il avait en fait verrouillé la porte d'entrée, que c'était sa nervosité naturelle à cause de laquelle il devait faire demi-tour et vérifier à nouveau la serrure. Normalement, c'était une pensée, une impulsion, un peu ennuyeux, comme la démangeaison d'une piqûre de moustique peut-être. Pas agréable, mais bien connu et supportable - mais aussi d'une manière ou d'une autre satisfaisant quand on grattait - Olaf ne grattait pas, car il savait que l'on ne faisait qu'empirer les démangeaisons. Mais aujourd'hui, il avait vraiment oublié de verrouiller la porte, ce qui ne pouvait pas être un bon présage pour aujourd'hui. Olaf ne pouvait pas être tout à fait sûr s'il avait réellement oublié de conclure, seul il se sentait si incertain, oui, il a eu une sorte de culpabilité d'être indigne du fait qu'au moins lui-même, qu'il s'était rencontré en tant que personne fiable, lui confiait - l'insécurité devait lui donner la certitude qu'il était probablement vraiment coupable d'oubli.

Eh bien, tout cela était à moitié aussi sauvage, aurait peut-être pensé M. Schulte, qui marchait le long du trottoir avec son chien et - parce qu'il était une personne polie : - un sourire et un "jour, Monsieur le voisin !" Voulait apporter s'il avait su ce que les pensées ont de nouveau suivi dans la tête d'Olaf, ou (ou plutôt) volaient contre les coins de la tête comme des voitures de course d'une piste Karrera submergées par la force centrifuge. Mais M. Schulte était non seulement poli, mais aussi tact, et il s'est donc réjoui d'échapper à l'occasion d'une conversation avec Olaf, en fait extrêmement indiscussé, en tenant compte de sa dispersion évidente, qui n'a pas imposé de distraction supplémentaire à travers un contact social dans ses concepts de vide. Et les contacts sociaux ont très rapidement dispersé Olaf, voire ils l'ont confondu.

Ainsi, il a senti la présence d'une personne, sensiblement capturée par son regard périphère, et le coup qui l'a traversé l'a empêché d'entrer à nouveau et de vérifier si le foyer était éteint.

Olaf avait honte que M. Schulte l'ait surpris en train d'avoir des sentiments de culpabilité, ce qui les a encore aggravés, mais il était également reconnaissant d'avoir été rappelé qu'il ne devait pas être en retard aujourd'hui.

Avec le courage de quelqu'un de vraiment déterminé - une image linguistique plus illustre doit manquer à ce stade, car de telles idées, si elles étaient mentionnées, ne feraient paraître Olaf que inutilement ridicule et petit par le contraste, ce qui serait contraire à l'intérêt de l'auteur de laisser le lecteur ressentir de la sympathie pour le protagoniste de ce récit - il s'est donc retourné (ou il s'est retourné deux fois, car une fois, il a encore vérifié si c'était tout à fait certain, vraiment terminé) et s'est mis en route pour le travail. Pour le travail espéré, car d'abord, ce n'était qu'un entretien d'embauche.

(noch nicht von Muttersprachler gegengelesen)

E.